D’après de solides indiscrétions glanées à des niveaux insoupçonnés par dakarposte depuis l’affaire de cette saignée financière au profit d’un tiers a été agité, il nous revient que l’homme Sow est un vrai faux qui joue à merveille ses partitions dans le très sinistre orchestre du trafic d’influence.
Il s’enorgueillit d’avoir une administration éclatée entre l’Afrique, l’Europe et les Emirats et impose la qualité de ses initiatives aux structures les plus réputées en matière de reconnaissance vis-à-vis des meilleurs entrepreneurs africains.
Le quinquagénaire, qui trône à la tête de SF Capital, n’aurait selon toute vraisemblance, aucun scrupule quand il s’agit de becqueter sur le champ doré de la finance lourde. Et ses collaborateurs au sein du précédent régime lui auraient facilité la tache à coups de signatures expresses qui ont davantage enfoncé la tête du pauvre Sénégal dans la mare boueuse de l’endettement.
C’est grâce à l’un de ses derniers forfaits, et sans doute aussi le plus juteux, que les journalistes d’investigations comme nous se sont donnés les moyens de mettre un visage et un nom sur ce banquier allusivement incriminé par le Ministre des Transports.
En effet, l’homme, dans le cadre de son intermédiation pour la réalisation groupée de projets infrastructurels, aurait empoché la rondelette somme de 100 milliards de francs CFA. Vous n’avez pas encore la berlue !
Il nous est revenu que la section de recherche de la Douane sénégalaise, après avoir noté des anomalies non négligeables dans les nombreux mouvements de matières importées portant sa signature, a carrément décidé d’y voir plus clair.
Parallèlement, le Parquet financier aurait fini de se lancer à ses trousses. Et que si tout se passe comme prévu, l’homme devrait inévitablement s’inviter au box des accusés pour s’expliquer sur les incroyables crimes financiers qui lui sont imputés.
L’homme, depuis l’avènement du nouveau régime, a établi ses quartiers à Dubaï et sort de temps en, temps de son trou pour voler vers le ciel américain. C’est dire donc que selon toute vraisemblance, l’homme, sans en donner l’air, fuit son pays comme la peste. Sinon, pourquoi depuis lors est il allé se nicher dans ce paradis émirati ? Pourquoi déléguer un de se plus proches collaborateurs pour aller répondre à la convocation que le parquet financier lui a naguère adressée ? S’il n’a vraiment rien à se reprocher, il n’a qu’à revenir ici et répondre en toute sérénité aux crimes financiers qui lui sont imputés.
Il s’enorgueillit d’avoir une administration éclatée entre l’Afrique, l’Europe et les Emirats et impose la qualité de ses initiatives aux structures les plus réputées en matière de reconnaissance vis-à-vis des meilleurs entrepreneurs africains.
Le quinquagénaire, qui trône à la tête de SF Capital, n’aurait selon toute vraisemblance, aucun scrupule quand il s’agit de becqueter sur le champ doré de la finance lourde. Et ses collaborateurs au sein du précédent régime lui auraient facilité la tache à coups de signatures expresses qui ont davantage enfoncé la tête du pauvre Sénégal dans la mare boueuse de l’endettement.
C’est grâce à l’un de ses derniers forfaits, et sans doute aussi le plus juteux, que les journalistes d’investigations comme nous se sont donnés les moyens de mettre un visage et un nom sur ce banquier allusivement incriminé par le Ministre des Transports.
En effet, l’homme, dans le cadre de son intermédiation pour la réalisation groupée de projets infrastructurels, aurait empoché la rondelette somme de 100 milliards de francs CFA. Vous n’avez pas encore la berlue !
Il nous est revenu que la section de recherche de la Douane sénégalaise, après avoir noté des anomalies non négligeables dans les nombreux mouvements de matières importées portant sa signature, a carrément décidé d’y voir plus clair.
Parallèlement, le Parquet financier aurait fini de se lancer à ses trousses. Et que si tout se passe comme prévu, l’homme devrait inévitablement s’inviter au box des accusés pour s’expliquer sur les incroyables crimes financiers qui lui sont imputés.
L’homme, depuis l’avènement du nouveau régime, a établi ses quartiers à Dubaï et sort de temps en, temps de son trou pour voler vers le ciel américain. C’est dire donc que selon toute vraisemblance, l’homme, sans en donner l’air, fuit son pays comme la peste. Sinon, pourquoi depuis lors est il allé se nicher dans ce paradis émirati ? Pourquoi déléguer un de se plus proches collaborateurs pour aller répondre à la convocation que le parquet financier lui a naguère adressée ? S’il n’a vraiment rien à se reprocher, il n’a qu’à revenir ici et répondre en toute sérénité aux crimes financiers qui lui sont imputés.